et si, c'était les prémices du réveil ?

j’ai vraiment ressenti de vous communiquer mon coeur sur les évènements qui prennent place, en ce moment, dans notre actualité. de partager mon coeur sur le racisme systémique et la brutalité policière qui touche la communauté noire, aux États-Unis certes, mais partout ailleurs, même ici au Canada. je ne suis pas une activiste, je désire le spécifier. je suis simplement une femme noire qui a le coeur brisé. cette semaine a été très difficile pour moi, car elle a amené une charge émotionnelle et mentale importante, et je dirais même un poids spirituel non négligeable. j’ai réalisé que mon coeur portait un fardeau, sans véritablement comprendre le poids de celui-ci. hier au matin, j’ai éclaté en sanglot. mais, je ne pleurais pas seule. le St-Esprit, lui aussi, pleurait. on pleurait ensemble. j’ai crié de douleur, et je l’entendais, lui aussi, crier. j’ai eu mal, physiquement. mon âme avait mal et je ressentais une sensation de serrement atroce. et très rare sont les fois où j’ai pu ressentir le cri du St-Esprit. je n’avais d’autres choix que de m’agenouiller par terre et de me laisser aller, car la douleur était trop grande pour que je reste debout. je répète, je ne suis pas une activiste, je suis simplement une femme noire, qui a été bouleversée par une situation qui se répète dans l’histoire de façon continue, et sous différentes formes. je suis une femme noire, passionnée par Jésus et Son coeur, qui cherche désespérément à lui ressembler. et je sais que le coeur de Jésus est dédié à enrayer toute forme d’injustice. alors que j’étais en train d’écrire cet article de blogue, mon âme gémissait, mais le St-Esprit m’a demandé d’écrire aujourd’hui, et pourtant, c’est hier que je voulais le faire. mais, il m’a dit qu’il ne voulait pas que j’écrive et que je m’exprime avec une âme dont sa nourriture est un sentiment de frustration, de tristesse ou de déception. il m’a encouragé à écrire demain, soit aujourd’hui. car hier, j’était brisée. aujourd’hui, le St-Esprit m’a transformé. mon coeur est beaucoup plus léger et j’écris ces mots avec un coeur qui a mis sa pleine confiance en l’Éternel, malgré la lourdeur du fardeau. ce que je tiens à vous partager est quelque chose sur lequel le Seigneur me parle depuis longtemps. et alors qu’Il m’a partagé son coeur plus tôt, hier matin, j’ai tout de suite su que je ne pouvais pas le garder pour moi. je vous en prie, lisez jusqu’à la fin, seulement si vous décidez d’entreprendre cette lecture, sinon, à bon entendeur, salut !


je ne suis pas là pour rendre les choses compliquées, car mon Jésus est simple. je suis là pour étaler une réalité et pour nous amener à réfléchir, et à élargir notre pensée humaine, afin de mieux accueillir la pensée divine. car c’est une réalité : nous sommes humains, et nous avons la tendance de penser comme tel, d’agir comme tel, et de rendre Dieu participant à nos manières de faire. non. nous sommes des êtres charnels et spirituels, et la dimension spirituelle est beaucoup plus grande. d’où l’importance de marcher par l’esprit. la pensée de l’homme n’a rien avoir avec la pensée de Dieu. nos voies ne sont pas ses voies (ésaïe 55:8). donc, laissez-moi vous dire que dans la majorité des cas, c’est notre pensée et notre voie qui prévalent sur celles de Dieu, et non le contraire. mais, l’important c’est de ramener le tout à Jésus, pour qu’il nous éclaire. de demander au St-Esprit : cette pensée que je viens de recevoir, vient-elle de toi ? en es-tu l’auteur ? cette voie que je désire entreprendre, ce chemin que je veux emprunter, vient-il de toi ? en es-tu l’initiateur ? sinon, on tombe trop vite dans l’illusion que ce qu’on fait, c’est ce que Dieu veut qu’on fasse et qu’il est accord avec cela. je prends l’exemple sur David qui, sans cesse, prenait le temps de consulter Dieu, dans les petites comme dans les grandes choses. faisons pareil. il est un modèle à suivre. Dieu aime ce coeur qui dépend de lui et qui ne regarde pas à ses propres moyens, mais qui laisse à Dieu le soin de s’occuper de tout, de prendre le contrôle de toute chose. mais je sais, nous sommes humains, et malheureusement nous aimons avoir le contrôle, malgré tout. et même en tant que chrétien, se laisser être guidé et conduit par l’Esprit n’est pas chose facile, et parfois notre « théologie » nous empêche d’avancer.


bref, mon questionnement est celui-ci : que veut dire être « un », dans le corps de Christ ?


malachie 2:10 - est-ce que nous n’avons pas tous un seul père ? est-ce que ce n’est pas un seul Dieu qui nous a créés ? pourtant, nous ne sommes pas fidèles les uns aux autres, et ainsi, nous ne respectons pas l’alliance entre Dieu et nos ancêtres. pourquoi donc ?


la Parole est vérité. je ne suis pas ici pour partager mon opinion, mon ressenti, mais la parole et le coeur de Dieu pour cette nouvelle saison. toi et moi avons été créés par le souffle de Dieu, et à Son image. donc, ce qui veut dire que toute nation, tout peuple et toute tribu sont une représentation unique et tangible du Dieu Créateur. ton voisin a été créé à l’image de Dieu, c’est la parole qui le dit. nous sommes l’ouvrage de Ses mains. alors que nous sommes nés de nouveau, nous appartenons à une nouvelle famille; la famille divine. et dans cette alliance divine, nous sommes co-héritiers avec Christ. cette nouvelle famille partage le même sang, celui de l’Agneau qui a été immolé pour les péchés du monde. Jésus étant la tête, nous formons son Corps (colossiens 1:18), et chaque membre de ce corps est important, voire nécessaire. est-ce que les membres du corps de Christ viennent tous du même arrière-plan ? non. le Corps est très diversifié, comptant des centaines et des centaines de personnes ayant une couleur de peau différente, des langues et des cultures différentes. et voilà pourquoi, seul le sang de Jésus permet à toutes ces nations, peuples et tribus de se loger sous le toit d’une même maison. seul le sang de Jésus a la capacité de nous affranchir définitivement de toutes formes d’injustice et d’inégalité, afin que nous ne formions qu’un. ainsi, il faut savoir que la justice fait partie de la nature de Dieu, il ne peut se séparer de cela. au contraire, il veille à ce que la justice se manifeste. lorsque Dieu voit de l’injustice, cela porte atteinte à qui il est, car il est juste, et rien d’autre. il ne tolère aucune forme d’injustice, car cela serait contre nature. la beauté du corps de Christ se trouve justement dans le fait qu’il est diversifié. soyons de ceux et de celles qui célèbrent les différences et l’unicité de chacun !


en lisant la Bible, on s’aperçoit que Dieu vient établir sa justice dans chaque histoire qui traverse l’ancien et le nouveau testament. c’est ce Dieu de Justice qui a délivré le peuple d’Israël de plus de 400 ans d’esclavage. c’est ce Dieu de Justice qui a mandaté une dizaine de juges pour délivrer son peuple de divers peuples ennemis. c’est ce Dieu de Justice qui a élevé joseph, david, esther et daniel (et bien d’autres) a des positions d’excellence, pour venir en aide à son peuple meurtri et menacé par la mort. c’est ce Dieu de Justice qui s’est fait chair et qui est mort sur la croix pour sauver l’humanité du péché et du pouvoir de la mort. cette dernière oeuvre fut l’établissement de la justice ultime, finale et complète. Jésus est notre justice, car par son sacrifice, par son sang, nous recevons une grâce non méritée qui nous rend justes aux yeux du Père. aussi, je rajoute, lorsque Jésus est venu sur la terre, sa mission était d’amener cette bonne nouvelle : il existe une justice pour tous, et c’est Jésus lui-même. Jésus a été la voix pour tous ceux qui n’avaient pas de voix. il a été la voix pour toute personne qui vivait de l’injustice. il a été la voix pour l’opprimée, l’esclave, la veuve, l’orphelin, le pauvre, et j’en passe. Jésus est venu relever la dignité et affermir l’identité de tous. il n’a oublié personne. sa vie sur terre n’a pas été de tout repos, car il a porté le fardeau d’une multitude, le fardeau de l’injustice. c’est pourquoi, la parole déclare que Jésus est notre avocat, notre défenseur devant le Père, lui qui est parfaitement juste, lui qui s’est offert en sacrifice, pour que Dieu pardonne nos fautes, et ceux du monde entier (1 jean 2:1-2). de plus, la Bible est très claire et mentionne que si quelqu’un décide de rester « uni à Dieu, il doit vivre comme Jésus-Christ a vécu » (1 jean 2:6). vivre comme Jésus veut dire quoi ? la réponse est dans ésaïe 61 : 1-2 :

l’esprit du Seigneur Dieu est sur moi
oui, il m’a consacré
pour apporter une
bonne nouvelle aux
pauvres

il m’a envoyé pour guérir
ceux qui ont le
cœur brisé
pour annoncer aux
déportés
« vous êtes libres ! »

et à ceux qui sont
en prison
« vous allez revoir la lumière du jour »
il m’a envoyé pour annoncer
« c’est l’année où vous verrez
la bonté du Seigneur ! »

« c’est le jour où notre Dieu
se vengera de ses ennemis ! »
il m’a envoyé pour redonner de l’espoir
à ceux qui sont
en deuil

je ne sais pas pour vous, mais lorsque je lis ces quelques lignes, je visualise clairement un Dieu de justice. il n’est pas venu pour le riche et l’ambitieux, mais il est venu pour libérer les captifs, guérir les malades et ceux qui ont le coeur brisé, pour délivrer son peuple de toutes formes de prisons (peur, dépression, paresse, dépendances, indifférence, etc.), pour apporter la justice dans toutes sortes d’injustices. Jésus est venu nous annoncer une bonne nouvelle : si nous le recevons dans nos vies, il promet de nous guérir, de nous restaurer et de nous transformer à son image, pour vivre une vie qui ressemble à la vie du royaume des cieux ! trop souvent, j’ai entendu des mouvements chrétiens ou des églises promouvoir le fait que nous devons marcher dans l’unité et vivre le royaume, et accueillir tous les peuples de toutes les nations. mais aujourd’hui, avec ce qui se passe, j’ai peine à croire, qu’ils gardent silence devant ce cas d’injustice.


voici la révélation que le Seigneur m’a donnée, lorsque je me suis réveillée hier matin
il existe 2 types de parfum qui plaisent à Dieu : celui de l’adoration et celui du sacrifice (j’ai élaboré cela dans mes 2 derniers articles). qu’est-ce que cela veut dire ? on ne peut pas dire que nous aimons Dieu, si nous ne lui consacrons pas notre vie, entièrement. aimer Dieu, c’est aimer ses commandements et les appliquer. aimer Dieu, c’est lui offrir le trône de notre coeur, le laisser élargir l’espace de notre tente pour accueillir son coeur, malgré notre entendement humain, malgré nos systèmes de croyance qui, oui, peuvent se mélanger à la pensée mondaine, malgré nos perceptions si erronées (je m’inclus dans tout ce que je cite). le coeur de Dieu, est pour tous ceux qui vivent de l’injustice. le coeur de Dieu, c’est de voir une Église, ce corps diversifié, par la composition des membres qui viennent de toutes les nations, se lever, enfin, pour être la voix dans ce monde, pour adresser les réalités dures et compliquées, comme celle de l’injustice. si l’Église ne se lève pas, qui le fera ? comment Jésus, qui est la tête, peut-il déverser en nous ses plans et ses stratégies pour intervenir dans l’injustice, si son corps est malade, divisé et propage lui-même l’injustice, en gardant silence ? comment espérer voir le réveil, s’il ne commence pas d’abord dans nos coeurs ? comment espérer un monde meilleur, un monde uni, si nous-mêmes, corps, ne vivons pas l’unité, ni dans l’esprit ni dans la chair ? comment vouloir voir un monde être réconcilié avec Christ, si nous-mêmes, corps, ne goûtons pas à cette réconciliation entre nous ? je refuse de marcher dans l’hypocrisie, c’est-à-dire, de prier pour voir la gloire de Dieu dans notre monde, alors que je ne la vis même pas avec les membres de ma famille (corps de Christ) ! si je reviens à l’image des parfums, il est très facile pour nous d’adorer Dieu, mais on oublie la portion sacrifice. Jésus a parfaitement plu à Dieu par son adoration et par son sacrifice. il est facile de se réunir sous un même toit et de louer Dieu dans toutes les langues possibles et avec toutes les nations du monde, mais qu’en est-il de porter les fardeaux de chacun ? qu’en est-il de se sacrifier pour l’autre, pour celui qui souffre ? qu’en est-il de sacrifier nos façons de pensée, nos mentalités qui, parfois, condamnent, jugent, rationalisent et minimisent la souffrance d’autrui ? qu’en est-il de sacrifier notre « moi », pour servir un « lui » ou un « elle ». le parfum du sacrifice est une fragrance qui plaît à Dieu. lorsque notre Papa voit son enfant (toi et moi) se sacrifier pour l’autre par le service ou bien en portant son fardeau, il se plait dans cette attitude d’humilité. ce que je veux dire c’est que ne tombons pas dans ce piège où nous choisissons soit l’adoration, soit le sacrifice. c’est les deux. si nous désirons de tout coeur ressembler à Christ et marcher ensemble, dans une unité d’esprit, je nous encourage à saisir le coeur de Dieu pour cette saison.


beaucoup parlent de l’effusion du St-Esprit et d’une grande moisson qui viendra comme jamais auparavant. j’y crois à 100 %. mais elle viendra sous une autre forme - une forme différente de ce que nous avons connu ou vécu, anciennement. et, c’est là que nous devons être attentifs et surtout écouter la voix de Dieu. car le réveil ne viendra pas comme nous le pensons. les Juifs attendaient le Messie, et l’avaient présenté sous l’image d’un militaire qui viendrait les délivrer de l’asservissement des romains. Jésus était tout autre. ne formons pas le plan de Dieu et ne tentons pas de donner une image au réveil, suivons tout simplement l’Esprit. mais chose certaine, il est temps pour l’Église de se lever. et alors qu’elle se lèvera, le réveil viendra. et si, ce que nous vivons aujourd’hui, face à la brutalité policière exercée de façon chronique sur la communauté noire, était en fait le plan de Dieu pour faire lever son Église ? et si, c’était les prémices d’un réveil pour l’humanité ? et si, le Seigneur était activement dans l’attente de voir son Épouse se lever pour cette injustice ? et si, le Seigneur était activement dans l’attente de voir les membres de son Corps prendre position, unis dans l’esprit, se supportant les uns et les autres dans cette affliction et reconnaissant la souffrance du peuple noir ? je trouve cela très intrigant que ces évènements ont eu lieu juste avant la Pentecôte et que le jour de la Pentecôte, hier, plusieurs pasteurs et leaders ont pris position sur ce sujet. je crois qu’il faut tous saisir l’opportunité de se lever en tant que corps de Christ, pour adresser l’injustice. Dieu a un plan pour son Corps, et il faut que tous les membres soient sur la même longueur d’onde. la délivrance approche, le Dieu d’Israël est le même aujourd’hui, hier et éternellement.


je termine là-dessus : Dieu m’a révélée ceci : il n’y a pas de réconciliation sans sacrifice


il n’y a pas de gloire sans souffrance, ni de résurrection sans crucifixion. paul nous encourage à vivre la puissance de la résurrection, mais aussi à être en mesure de communier avec les souffrances de Christ (philippiens 3:10). les deux vont ensemble, tout comme l’adoration et la consécration (sacrifier notre vie sur l’autel pour servir Dieu et les autres). on ne peut pas aimer Dieu et ne pas vivre une vie de sacrifice, surtout si nous nous disons chrétiens et désirons ressembler à Jésus. pourquoi ? sans le sacrifice de Jésus à la croix, aucune réconciliation avec Dieu le Père n’aurait été possible. en d’autres mots, l’oeuvre de la réconciliation s’est manifestée à travers le sacrifice de Jésus, et rien d’autre. concrètement, si nous désirons voir et une réconciliation dans le corps de Christ, et dans le monde, il nous faut vivre une vie de sacrifice. cela veut dire que lorsque mon frère ou ma soeur en Christ vit une souffrance, je décide de m’associer avec elle dans cette souffrance. je tiens à mentionner qu’une souffrance est une souffrance. je n’ai pas besoin de demander à mon frère ou à ma soeur de me prouver sa souffrance. il ou elle souffre, alors je souffre aussi. si nous affirmons que nous sommes « un », alors nous le sommes dans la souffrance comme dans l’abondance. nous sommes « un » dans les situations injustes tout comme dans les situations où la justice a été établie. si nous disons « oui » à la réconciliation Jésus-Monde, alors nous disons « ouiI » à la réconciliation raciale, et ce, sous toutes ses formes. mais la réconciliation raciale implique la participation de chacun de nous, de chaque membre du corps de Christ, à dénoncer l’injustice et à être la voix pour tous ceux qui n’ont pas de voix. la réconciliation raciale implique que chaque chrétien se mobilise et se sacrifie pour l’autre : et cela peut se traduire simplement en reconnaissant que le racisme systémique envers les noirs et personnes de couleurs existe. l’indifférence et l’insensibilité n’ont pas leur place.


si l’Église n’arrive pas à discerner pourquoi elle doit se lever, elle va passer à côté ! saisissons dans l’esprit que ce qui se passe présentement est une opportunité pour l’église de Jésus, uni par le sceau de son sang et de son sacrifice, de se lever pour l’injustice raciale. voici une situation que Dieu expose devant nous, afin que nous puissions expérimenter la puissance d’un corps, d’une famille qui marche dans l’unité et animée d’une sainte colère, qui désire ardemment voir le royaume des cieux et sa justice, envahir la terre. voici l’opportunité que Dieu nous donne de servir les autres, de se sacrifier pour les autres; de mettre de côté notre façon de pensée, notre raisonnement, nos propres moyens de justification ou nos tendances à minimaliser, pour communier sincèrement avec les souffrances des autres. et dans le cas présent, c’est la douleur qu’a occasionnée le racisme brutal envers la communauté noire et les personnes de couleur. Dieu nous donne cette opportunité de pleurer avec ceux qui pleurent (romains 12:5), de souffrir avec ceux qui souffrent (1 corinthiens 12:26) et de porter le fardeau douloureux de l’injustice raciale. je vous en prie, laissons le St-Esprit nous convaincre de comment se lever pour cette cause. Ses voies sont différentes des nôtres. pour certains c’est de reconnaître l’existence de ce fléau, pour d’autres c’est d’aller marcher pacifiquement dans des manifestions organisées, pour d’autres c’est de dénoncer l’injustice sur leur plateforme d’influence, pour d’autres c’est d’ouvrir la conversation autour d’une table, pour d’autres c’est d’aller s’éduquer sur le sujet, pour d’autres c’est la prière et l’intercession. alors, laissons l’Esprit nous conduire dans l’action à prendre, car toutes sont importantes, aucune n’est banale.


le coeur de Dieu, c’est de voir son Église se lever pour être Sa voix, afin qu’elle soit un exemple et qu’elle démontre une unité qui transcende la souffrance. que chaque membre du corps de Christ réalise qu’il est important et nécessaire pour l’avancement du royaume de Dieu sur terre. et Dieu se chargera lui-même de faire justice, de faire éclater la réalité surnaturelle que vit son Église, cette réconciliation tangible, dans le monde entier. ça décrit bien les prémices d’un réveil.


gardons nos coeurs et laissons Jésus faire briller Sa lumière parmi les ténèbres.

vainquons le mal par le bien
romains 12:21

| arielle nkambou |